Sommaire exécutif du rapport « Ce que vous avez dit » : Séances de mobilisation du CRTC en début de processus

Le sommaire exécutif du rapport des séances de mobilisation en début de processus est aussi disponible dans les langues autochtones suivantes :

Pour de plus amples renseignements, consultez le rapport « Ce que vous avez dit » (disponible en français et en anglais seulement).

Démarche

En juin 2019, le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) a lancé l’avis d’instance de radiodiffusion CRTC 2019-217, un processus en trois phases visant à élaborer conjointement avec les peuples autochtones une nouvelle politique en matière de radiodiffusion autochtone. La première phase a consisté en des séances de mobilisation en début de processus pour établir le déroulement et la portée du processus de consultation publique et pour aider à cerner les besoins des peuples autochtones au sein du système de radiodiffusion au Canada.

De juin 2019 à février 2020, le Conseil a rencontré des radiodiffuseurs, des créateurs de contenu et des artistes autochtones au cours de 12 séances de mobilisation à travers le Canada. Les séances de mobilisation ont été tenues par l’Indigenous Leadership Development Institute Inc. (ILDII) avec une équipe d’hôtes et d’animateurs autochtones. Un guide de discussion a été fourni à tous les participants avec des questions sur la façon dont le Conseil pourrait dialoguer de manière significative avec le plus grand nombre possible de communautés autochtones. Les radiodiffuseurs et les créateurs de contenu autochtones ont également été invités à partager leurs points de vue sur les défis et les possibilités qui, selon eux, devraient être abordés dans une nouvelle politique sur la radiodiffusion autochtone.

Les points de vue qui ont été couramment entendus tout au long de ces séances sont résumés ci-dessous. Pour une compréhension détaillée des points de vue communiqués par les participants, veuillez consulter le rapport complet.

Ce que vous nous avez dit/ce qui a été dit

Obtenir des renseignements sur la manière de consulter et de cerner les besoins

Les participants ont généreusement fourni leurs commentaires sur la manière dont le CRTC pourrait s’assurer que l’élaboration conjointe d’une nouvelle politique sur la radiodiffusion autochtone soit menée de manière équitable et accessible. Ils ont souligné l’importance de respecter les traditions orales des peuples autochtones et d’inclure une consultation en personne dans la mesure du possible. Les participants ont également souligné l’importance de recueillir les points de vue de diverses communautés et de distinguer les différents groupes parmi les Premières Nations, les Inuits et les Métis.

Les consultations doivent tenir compte de l’histoire de la radiodiffusion autochtone et être menées en faisant preuve de sensibilité culturelle. L’inclusion d’information de fond pertinente sur les politiques et la reconnaissance des langues autochtones ont été jugées essentielles pour un processus de consultation significatif, tout comme l’inclusion des points de vue des aînés et des jeunes. Les participants ont également parlé de l’importance de respecter un protocole et d’assurer une certaine forme de rémunération pour le temps, les connaissances et l’expertise des participants autochtones.

L’importance de comprendre les besoins en matière de radiodiffusion des peuples autochtones vivant dans les zones urbaines et rurales, y compris les communautés du Nord et éloignées, a été clairement communiquée tout au long des séances. Pour assurer un niveau élevé de participation, diverses méthodes de sensibilisation ont été recommandées, notamment des messages d’intérêt public sur les radios et télévisions locales et les médias sociaux, ainsi qu’une communication directe avec les dirigeants des communautés. Les participants ont souligné que les consultations devraient être transparentes et fondées sur les principes de la recherche d’un consensus.

Ce qui fonctionne bien

Les participants ont apprécié le format des séances de mobilisation en début de processus, mentionnant que celles-ci étaient respectueuses des traditions autochtones. Ils étaient reconnaissants que les séances soient organisées et animées par des Autochtones.

Nous avons entendu que les communautés autochtones ont fait preuve d’une formidable résilience et s’efforcent de réussir dans les secteurs des médias et de la radiodiffusion. Les talents autochtones sont nombreux dans les domaines de la création et de la production de contenus audio et audiovisuels. Le rôle de la radio autochtone pour soutenir les artistes musicaux autochtones et aider les communautés à se réapproprier leur langue et leur culture a été reconnu comme un facteur de réussite. Le développement de communautés musicales autochtones prospères, comme celle du Manitoba, a été reconnu comme jouant un rôle clé dans la reconnaissance des artistes autochtones et de leur musique. Le Bureau de l’écran autochtone a été considéré comme une initiative importante pour soutenir la narration autochtone au moyen d’œuvres audiovisuelles.

Les participants ont également salué la création de l’Aboriginal Peoples Television Network (APTN), qui donne une voix aux créateurs autochtones. CBC North est axée sur le contenu local et est également considérée comme un modèle de réussite, selon certains participants. D’autres ont parlé de certaines organisations non autochtones qui sont considérées comme des alliées et qui travaillent de plus en plus pour aider à promouvoir le contenu autochtone.

Enjeux

Les participants ont fait part de leurs commentaires sur une série d’enjeux qui ont empêché les radiodiffuseurs et les créateurs de contenu autochtones de participer pleinement à tous les aspects de l’industrie de la radiodiffusion au Canada.

Radiodiffuseurs : Les stations de radio autochtones constituent un outil de communication essentiel dans leurs communautés, mais la plupart d’entre elles sont confrontées à d’importants problèmes de revenus. Beaucoup voudraient vendre de la publicité, mais les occasions sont rares. Alors que la politique actuelle en matière de radiodiffusion autochtone encadre deux types de stations de radio (type A et type B), qui doivent tous deux être détenus et contrôlés par des organisations à but non lucratif, certains participants ont suggéré la nécessité d’un autre type qui correspondrait davantage aux stations de radio à but lucratif. Néanmoins, la plupart ont estimé que la radio autochtone ne devrait pas être considérée, ni exploitée comme les grandes entreprises de médias, ni être tenue de respecter des règles similaires.

Infrastructures de radiodiffusion : La nécessité d’améliorer les infrastructures et les équipements a été mentionnée à plusieurs reprises. Les participants ont parlé des fréquentes pannes d’équipements, lesquels sont difficiles à réparer en raison de l’éloignement des lieux et du manque de personnel formé. La technologie de diffusion télévisuelle dans les communautés du Nord serait particulièrement dépassée. Une infrastructure à large bande modernisée et plus abordable est nécessaire, car les plateformes en ligne sont de plus en plus importantes pour la consommation d’émissions audio et audiovisuelles, pour l’apprentissage et pour l’accès à de l’information importante.

Les créateurs de musique et de contenu audiovisuel : Les créateurs de contenu autochtones partageaient des préoccupations semblables. Malgré le fait qu’ils soient bien représentés dans les médias autochtones, ils ont souligné la nécessité de toucher un public plus large. Ils ont estimé que dans ce but, les diffuseurs de radio et de télévision grand public devraient présenter un pourcentage minimum d’émissions provenant de créateurs de contenu autochtones. Ce besoin de raconter des histoires autochtones à un public non autochtone plus large s’étend également aux plateformes en ligne. Les participants ont également fait valoir que le manque d’investissement et de financement constituait un obstacle à la création et à la production de contenu autochtone.

Les radiodiffuseurs grand public ont un rôle important à jouer : Le rôle des médias grand public dans le soutien et la représentation des peuples autochtones a été évoqué tout au long des séances de mobilisation. Les participants ont souligné la nécessité pour les radiodiffuseurs non autochtones de reconnaître leur rôle dans le respect des obligations du Canada envers les peuples autochtones. Nombreux sont ceux qui estiment que l’obligation de diffuser un pourcentage garanti de contenu autochtone, créé par et pour les Autochtones, serait préférable à des mesures incitatives ou à des « encouragements ». Les participants ont également indiqué qu’il devrait y avoir une plus grande représentation autochtone dans les opérations et la gestion des radiodiffuseurs non autochtones. Soutenir les étudiants autochtones en radiodiffusion au moyen de bourses et de stages a été considéré comme un moyen de contribuer au développement de nouveaux talents autochtones.

Les participants ont exprimé leur inquiétude quant au fait que des organisations non autochtones reçoivent des fonds publics pour la création ou la production de contenu autochtone. Ils ont parlé de la nécessité de mettre en place des mécanismes pour s’assurer que le contenu est créé par des Autochtones au moment d’établir des obligations envers la programmation autochtone pour les radiodiffuseurs grand public.

Les participants ont estimé que les stéréotypes de longue date à l’égard des peuples autochtones se perpétuaient dans les médias, et que les cultures et les langues autochtones devaient être mieux représentées dans la programmation. Beaucoup ont souligné l’importance de renforcer la sensibilisation culturelle dans l’ensemble du système de radiodiffusion. La présence d’experts culturels autochtones sur le plateau ou en studio permettrait de garantir que le contenu est approprié et reflète les cultures et traditions autochtones. Les participants ont également évoqué la nécessité cruciale de veiller à ce que les alertes d’urgence soient diffusées dans les langues autochtones.

Représentation des Autochtones travaillant dans le secteur : Les participants ont souligné l’importance d’avoir des stations de radio autochtones dont les opérations et la gestion sont assurées par des membres de leurs communautés. Par ailleurs, l’emploi d’Autochtones est nécessaire dans l’ensemble du système de radiodiffusion. Il faut que davantage d’Autochtones participent aux processus décisionnels, notamment lors de l’élaboration des programmes de financement et des critères de soutien à la création de contenu autochtone. Certains ont suggéré que les radiodiffuseurs généralistes soient tenus de rendre compte du nombre de personnes autochtones qu’ils emploient. Les radiodiffuseurs doivent avoir des plans concrets pour recruter, former et maintenir le personnel autochtone.

Un besoin global d’équité : Les participants ont parlé des inégalités de longue date que les politiques devraient viser à niveler afin que les artistes, les créateurs de contenu et les radiodiffuseurs autochtones soient sur un pied d’égalité avec leurs homologues non autochtones dans des domaines tels que le financement, la visibilité des émissions, ainsi que l’accès aux technologies et aux infrastructures.

Possibilités

Les participants aux séances de mobilisation ont fourni une importante rétroaction sur les possibilités d’amélioration et les solutions possibles pour répondre aux enjeux mentionnés ci-dessus.

Soutien aux radios communautaires autochtones : Les participants ont estimé qu’il fallait davantage de ressources financières pour que les stations de radio autochtones puissent mieux servir leurs communautés. Il serait possible d’accroître la quantité et la diversité des contenus grâce à un financement permettant d’amener des professionnels dans leurs communautés pour assurer la formation du personnel, et de rémunérer les producteurs d’émissions de création orale.

Soutien aux artistes et créateurs de contenu autochtones : Pour que les artistes musicaux autochtones soient découverts et rémunérés, certains ont suggéré la création d’un catalogue en ligne accessible à tous. Les participants ont également estimé que les sociétés de gestion des droits d’auteur pourraient faire davantage pour aider à identifier et à suivre la musique autochtone diffusée par tous les radiodiffuseurs, afin que les créateurs soient équitablement rémunérés. Certains ont estimé que le CRTC pourrait contribuer à cet égard en exigeant la preuve que les stations de radio ont payé les tarifs de droits d’auteur appropriés. La formation des musiciens serait également utile pour comprendre l’enregistrement et la perception des droits d’auteur.

Les participants ont estimé que les conteurs autochtones devraient être encouragés à travailler ensemble et ne pas avoir à rivaliser pour obtenir des fonds limités. Les partenariats avec les sociétés de production autochtones et non autochtones existantes ont été considérés comme de bonnes occasions pour les conteurs autochtones de mettre leur talent à contribution. Les participants ont également estimé qu’il devrait y avoir davantage de ressources, y compris de la part des radiodiffuseurs grand public, pour soutenir les journalistes et les programmateurs d’émissions de création orale autochtones, puisqu’ils peuvent créer des contenus axés sur les perspectives de leurs communautés locales.

La jeunesse, l’éducation et la formation : Offrir des possibilités d’emploi aux jeunes autochtones susciterait leur intérêt pour l’industrie de la radiodiffusion tout en créant un bassin de futurs talents. Des programmes de mentorat et d’emploi bien financés seraient utiles à cet égard. Que ce soit par l’éducation formelle ou la formation en cours d’emploi, les participants ont souligné l’importance d’offrir des possibilités de développement professionnel au personnel chargé de tâches liées à la radiodiffusion et à la programmation; la formation sur place contribue également au maintien en poste du personnel. Les participants ont fait remarquer que des espaces physiques de production et de formation devraient être offerts dans les petites communautés, et non seulement dans les centres urbains.

Création d’une association pour représenter les radiodiffuseurs autochtones : La plupart ont convenu qu’il était urgent de créer une organisation nationale qui pourrait parler au nom des radiodiffuseurs autochtones tout en offrant des possibilités de réseautage, des conseils et un soutien. Certains participants ont indiqué qu’une telle organisation devrait inclure une représentation régionale. Les participants ont parlé de l’isolement ressenti par le personnel de radiodiffusion dans les communautés éloignées, ainsi que du besoin d’entrer en contact et d’apprendre les uns des autres. L’importance d’avoir des occasions de réseautage avec des organisations autochtones d’autres pays a également été citée. La mise en œuvre d’une telle organisation nécessiterait un financement à la fois initial et continu.

Création de bases de données et d’archives : Les participants ont estimé que les bases de données étaient essentielles pour garantir que les populations autochtones et non autochtones puissent trouver de la musique, des films et des émissions de télévision autochtones, ainsi que les stocker et y accéder. Ils ont mentionné qu’il y avait des obstacles à l’accès aux sources d’archives de films et de musique enregistrée et ont exprimé la nécessité d’avoir des outils pour préserver les contenus autochtones, en particulier lorsqu’ils sont parlés ou chantés dans des langues autochtones. Comme les connaissances traditionnelles de certaines cultures autochtones sont censées être partagées uniquement au sein de la communauté, des réglementations sont nécessaires pour protéger le contenu de radiodiffusion archivé.

Rôle de la CBC et collaboration avec la CBC : Les participants ont noté que CBC North, qui inclut des histoires autochtones locales, pourrait être un modèle pour toutes les stations de télévision et de radio de CBC. Les participants ont reconnu les possibilités de présenter des contenus autochtones sur CBC Gem, mais ont noté que certaines communautés autochtones ne sont pas en mesure d’accéder aux services en ligne. Certains ont évoqué des difficultés à convaincre CBC d’accepter leurs projets, notamment en matière de télévision, et ils étaient d’avis qu’il devrait y avoir davantage de possibilités de partage de contenu entre les médias autochtones et CBC. Comme CBC reçoit des fonds publics, les participants ont estimé qu’il devrait y avoir plus d’émissions autochtones à l’antenne et davantage d’Autochtones travaillant à des postes clés de programmation et de gestion. Pour y parvenir, les participants ont fait remarquer que CBC pourrait offrir un programme de stages à temps plein aux Autochtones intéressés par une carrière dans la radiodiffusion.

Des communautés disposant de leurs propres politiques, infrastructures et financements : Certaines communautés autochtones ont mis en place leurs propres politiques, infrastructures et mécanismes de financement en matière de radiodiffusion, et il a été estimé que le besoin d’autonomie et d’autodétermination des communautés devrait être reconnu, y compris en ce qui concerne la réglementation de la radiodiffusion.

Financement

L’importance d’un financement supplémentaire et durable a été régulièrement soulignée comme élément clé pour aider à remédier à bon nombre des enjeux identifiés tout au long des séances de mobilisation.

Les participants ont indiqué qu’un financement supplémentaire est nécessaire pour répondre aux besoins uniques des radiodiffuseurs et des créateurs de contenu autochtones, ainsi que pour corriger le déséquilibre que le financement destiné à soutenir la radiodiffusion autochtone a connu par rapport au système de radiodiffusion traditionnel. Nous avons notamment entendu dire que des fonds sont nécessaires pour former, employer et soutenir les radiodiffuseurs, les créateurs de contenu et le personnel autochtones, pour soutenir les coûts liés à l’éloignement, pour améliorer l’équipement technique, pour développer et maintenir l’infrastructure, pour soutenir l’accès équitable aux services de communication et pour soutenir la programmation et les nouvelles en langues autochtones.

Bien qu’ils reconnaissent que ceci ne relève pas du CRTC, les participants ont noté que le financement de la radiodiffusion autochtone du Nord n’avait pas augmenté en 30 ans, et que les fonds étaient alloués au même groupe de bénéficiaires. Nous avons entendu qu’un financement de base prévisible et fiable à long terme est nécessaire, par opposition à un financement temporaire et à court terme basé sur des projets, afin qu’ils puissent renforcer les capacités dans leurs propres communautés. Beaucoup ont suggéré que des contributions obligatoires soient établies par le CRTC pour aider à résoudre les problèmes de financement et pour uniformiser les règles du jeu. Ils ont fait remarquer que les radiodiffuseurs et les créateurs de contenu autochtones devraient avoir un siège à la table de financement.

Comme les fonds sont rares et que le temps de traitement est long, certains ont suggéré qu’une base de données des sources de financement soit établie et qu’un soutien soit fourni pour aider à la préparation des demandes de financement. Nous avons également entendu que les critères d’admissibilité des programmes de financement traditionnels ne tiennent souvent pas compte des réalités autochtones.

Le CRTC et la nouvelle politique sur la radiodiffusion

Les participants ont souligné la nécessité pour le CRTC d’améliorer la représentation des Autochtones au sein de son organisation, de nouer des relations de confiance avec les radiodiffuseurs et les créateurs de contenu autochtones et de réglementer l’industrie de la radiodiffusion afin de garantir une représentation fidèle des peuples autochtones.

Plus précisément, les participants ont indiqué que le CRTC devrait embaucher davantage d’Autochtones et s’assurer que le personnel du Conseil suive une formation de sensibilisation culturelle. Les participants ont estimé qu’un comité ou un groupe de travail autochtone devrait être mis en place avec le CRTC pour aider à améliorer les voies de communication et fournir un accès facile à l’information et de l’orientation en cas de besoin. Ils ont estimé que les processus réglementaires devraient être simplifiés et plus souples, et que le CRTC devrait communiquer régulièrement avec les communautés et les publics autochtones.

Les participants ont noté que la nouvelle politique sur la radiodiffusion autochtone devrait être respectueuse et inclusive de tous les peuples autochtones. Elle doit être exhaustive dans sa façon d’aborder l’accès et le contenu autochtone. Il y a eu un consensus sur le fait que les règlements du CRTC visant les médias grand public devraient comprendre des dispositions pour refléter et soutenir les contenus et les talents autochtones. Les participants ont également souligné l’importance d’étudier les obligations liées à la radiodiffusion qui figurent dans les rapports tels que ceux de la Commission de vérité et réconciliation et de l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées lors de la création de la nouvelle politique sur la radiodiffusion autochtone.

Autres points de vue et commentaires

Les participants ont échangé des points de vue importants sur toute une série d’autres questions ou sujets, y compris certains qui ne relèvent pas de la compétence du CRTC ou du processus d’élaboration conjointe d’une nouvelle politique en matière de radiodiffusion autochtone. Le Conseil souhaite remercier tous les participants pour leur contribution et donner l’assurance que tous les commentaires ont été notés, même s’ils ne sont pas rapportés dans ce sommaire.

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