Questions concernant l'établissement d'un numéro à 3 chiffres pour la prévention du suicide – 2 de 4

La vidéo est aussi disponible en American Sign Language (ASL).

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Transcription vidéo

Le Conseil invite les parties à examiner les questions suivantes :

Question 1. L’établissement d’un numéro à trois chiffres consacré aux services d’intervention en cas de crise de santé mentale et de prévention du suicide répondrait-il aux critères établis dans la décision 2001-475?

Question 2. Le Canada devrait-il passer à la composition locale à dix chiffres dans toutes les régions afin de pouvoir établir un numéro national à trois chiffres autre qu’un numéro N11 pour des services d’intervention en cas de crise de santé mentale et de prévention du suicide?

  1. Quels sont les avantages et les défis associés à une telle transition? Quelles sont les solutions pour surmonter les défis déterminés?
  2. Combien de temps serait nécessaire pour cette transition?
  3. Quels sont les coûts associés à cette transition? Les entités responsables de cette transition devraient-elles être autorisées à récupérer ces coûts? Le cas échéant, comment?

Question 3. Outre celles associées à la mise en œuvre de l’appel à dix chiffres, quelles sont les autres modifications, telles que les modifications à apporter au réseau, qui seraient nécessaires pour établir un numéro à trois chiffres autre qu’un numéro N11 pour les services d’intervention en cas de crise de santé mentale et de prévention du suicide?

  1. Quels sont les avantages et les défis associés à la mise en œuvre d’un numéro à trois chiffres autre qu’un numéro N11? Quelles sont les solutions pour surmonter les défis déterminés?
  2. Combien de temps serait nécessaire pour mettre en œuvre ces modifications et le numéro à trois chiffres autre qu’un numéro N11?
  3. Quels sont les coûts associés à une telle mise en œuvre? Quelles entités devraient assumer les coûts connexes? Ces entités devraient-elles être autorisées à récupérer ces coûts? Le cas échéant, comment?

Question 4. Le numéro à trois chiffres pour les services d’intervention en cas de crise de santé mentale et de prévention du suicide devrait-il être déployé partout au Canada en même temps, ce qui pourrait retarder le déploiement, ou faire l’objet d’une approche progressive?

Question 5. Comment les appels par le service de relais vidéo et les appels VoIP mobiles au numéro à trois chiffres devraient-ils être pris en charge?

Question 6. Dans quelle mesure les réseaux offrant des services d’intervention en cas de crise de santé mentale et de prévention du suicide par un numéro à trois chiffres devraient-ils être interconnectés aux réseaux 9-1-1?

  1. Quels sont les avantages et les défis associés à une telle approche? Quelles sont les solutions pour surmonter les défis déterminés?
  2. Combien de temps serait nécessaire pour une telle interconnexion?
  3. Quels sont les coûts associés à une telle interconnexion? Quelles entités devraient assumer les coûts connexes? Ces entités devraient-elles être autorisées à récupérer ces coûts? Le cas échéant, comment?

Question 7. Les appels vers un numéro à trois chiffres doivent-ils saisir automatiquement des renseignements sur l’emplacement d’acheminement? Dans quelle mesure est-ce réalisable sur le réseau téléphonique public commuté?

  1. Quels sont les avantages et les défis associés à la mise en œuvre d’une telle caractéristique? Quelles sont les solutions pour surmonter les défis déterminés?
  2. Combien de temps serait nécessaire pour la mise en œuvre d’une telle caractéristique?
  3. Quels sont les coûts associés à la mise en œuvre d’une telle caractéristique? Quelles entités devraient assumer les coûts connexes? Ces entités devraient-elles être autorisées à récupérer ces coûts? Le cas échéant, comment?
  4. L’emplacement d’acheminement devrait-il seulement être saisi si un appel est transféré au 9-1-1?
  5. Quelles préoccupations en matière de respect de la vie privée une telle approche soulève-t-elle, et comment les équilibrer avec les avantages éventuels?

Question 8. Faudrait-il mettre en œuvre la possibilité d’envoyer un message texte directement au numéro à trois chiffres?

  1. Quels sont les avantages et les défis associés à une telle mise en œuvre? Quelles sont les solutions pour surmonter les défis déterminés?
  2. Quels protocoles de message texte (p. ex. SMS, texte en temps réel [RTT] ou Rich Communication Services [RCS]) devraient être pris en compte, et pourquoi?
  3. Combien de temps serait nécessaire pour la mise en œuvre de cette caractéristique?
  4. Quels sont les coûts associés à la mise en œuvre d’une telle caractéristique? Quelles entités devraient assumer les coûts connexes? Ces entités devraient-elles être autorisées à récupérer ces coûts? Le cas échéant, comment?

Cette vidéo fournit des renseignements clés tirés de l'avis de consultation de télécom CRTC 2021-191-1 et s'adresse aux Canadiens dont la langue principale est la langue des signes québécoise (LSQ).

Afin de permettre aux personnes intéressées dont la langue première est la LSQ ou l'ASL de participer pleinement à cette instance, le Conseil acceptera les soumissions vidéo dans ces langues.

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