Faits saillants de l’année de radiodiffusion 2020-2021 concernant les relevés financiers des stations de radio non commerciales et des services facultatifs individuels

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1. Stations de radio non commerciales
2. Services facultatifs et sur demande individuels autorisés canadiennes

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Les revenus des stations de radio non commerciales ont généralement augmenté au cours des cinq dernières années, ce qui est contraire à la tendance observée dans le secteur de la radio commerciale. Cette tendance s’est amorcée avant la pandémie et, soutenue par les campagnes publicitaires et les aides gouvernementales relatives à la pandémie de COVID-19, elle s’est poursuivie et même accélérée dans certains cas pendant la pandémie.

Au cours des cinq dernières années, les stations de radio communautaires ont enregistré la plus forte croissance avec des revenus qui augmentent à un taux de croissance annuel composé (TCAC) de 11,3 %, suivies des stations de radio autochtones à 8,5 %, des stations de radio de campus à 3,2 %, tandis que les revenus des stations de radio religieuses ont diminué depuis 2017 à un TCAC de -3,4 %.

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Avant la pandémie, les revenus des services facultatifs et sur demande étaient relativement stables, les services appartenant à des entités intégrées verticalement (IV), qui comprennent les services de sports grand public, augmentant lentement leur proportion des revenus totaux. Depuis le début de la pandémie, les services facultatifs détenus par des indépendants ont toutefois mieux résisté que les services facultatifs détenus par des entités IV. En 2021, les services facultatifs indépendants et de sports grand public ont enregistré une augmentation de leurs revenus, tandis que les services facultatifs d’entités IV (hors sport grand public) ont enregistré leur plus faible niveau de revenus totaux au cours des cinq dernières années.

Malgré ce ralentissement apparent des revenus, les services facultatifs appartenant à des entités IV demeurent très rentables, avec des bénéfices avant intérêts et impôts (BAII) dépassant 29 %, tandis que les services facultatifs indépendants ont affiché un BAII plus modéré de 12 % au cours de l’année de diffusion 2020-2021.

La composition du marché des services facultatifs est variée et comprenait, pour l’année de diffusion 2021, 130 services de langue anglaise/bilingue (81 % du total des revenus facultatifs), 32 services de langue française (18 % du total des revenus facultatifs) et 119 services à caractère ethnique (2 % du total des revenus facultatifs).

Selon l’année de diffusion, cinq ou six des dix services facultatifs les plus rémunérateurs ont toujours été des services de sport d’intérêt général traditionnels. Vous trouverez ci-dessous la liste des cinq services facultatifs les plus rentables parmi les services indépendants, les services en langue anglaise et bilingue, les services en langue française et les services à caractère ethnique, à l’exception des services de sport d’intérêt général qui ont recueilli 35 % des revenus totaux des services facultatifs.

Les paragraphes suivants décrivent l’importance relative des cinq principaux services de rémunération par rapport à chacun de leurs groupes :

• Les cinq premiers services facultatifs indépendants ont rapporté environ 21 % du total des revenus des services facultatifs indépendants.
• Les principaux services facultatifs de langue anglaise/bilingue représentaient environ 16 % des revenus des services facultatifs de l’ensemble des groupes;
• Les cinq services de langue française mentionnés ont rapporté environ 27 % du total des revenus des services facultatifs de langue française;
• Les principaux services à caractère ethnique facultatifs ont rapporté environ 59 % du total des revenus des services à caractère ethnique.

Des données supplémentaires sont disponibles sur les pages Web des Rapports sur le marché des communications – Portail des données ouvertes et des pages Web des Relevés financiers concernant le secteur de la radiodiffusion.