Analyse du cahier de choix du CRTC : panel
Parlons télé : Faites votre choix!, étude menée par Hill+Knowlton Strategies
Le 1 mai 2014
Table des matières
- Méthode
- Sommaire
- Abonnement au service de base
- Nouvelles locales
- Nouvelles locales selon l’âge
- Options à la carte
- Programmation de sports
- Accès aux émissions américaines et internationales
- Compromis pour l’accès aux chaînes américaines et internationales
- Forfait de chaînes internationales et canadiennes
- Substitution de signaux
- Programmation en ligne
- Consentement à payer 0,50 $ pour plus de contenu canadien
- Normes relatives aux services en ligne
- Payer pour de la diffusion en continu illimité
- Profil sans pondération
Méthode
Les données qui vous sont présentées reposent sur un échantillon représentatif du panel en ligne que la firme EKOS a choisi au hasard.
Les répondants à l’étude, choisis au hasard, ont été invités par courriel à visiter le site consacré au cahier de choix.
Au total, 1 252 personnes ont répondu au questionnaire. Un échantillon de cette taille présente une marge d’erreur de plus ou moins 2,8 %, laquelle augmente dans le cas de sous-groupes. Les données présentées sont pondérées en fonction de l’âge, du sexe et de la région.
Dans ce rapport, nous avons souligné les différences démographiques très grandes, statistiquement et fondamentalement, afin de montrer les divergences d’opinions de certains groupes de Canadiens.
Sommaire
Services de câblodistribution et exigences
- Deux-tiers (62 %) de la population en général préférerait un service de câblodistribution de base au meilleur prix possible.
- En général, les gens tendent à affirmer que les nouvelles locales sont importantes (71 %). Toutefois, un grand écart générationnel révèle que les jeunes Canadiens n’attachent pas d’importance aux actualités locales.
- Les forfaits à la carte (53 %) sont plus privilégiés que les options à la carte (33 %).
- Un modèle utilisateur-payeur (55 %) est préconisé pour la programmation sportive.
- Près de deux répondants sur trois (61 %) souhaitent avoir un accès plus direct aux chaînes américaines et près d’un répondant sur deux (47 %) souhaitent en avoir un aux chaînes internationales. Parmi ces répondants, 38 % seraient prêts à payer pour obtenir cet accès plus direct et 31 % voudraient toujours l’obtenir même au détriment d’une baisse de programmation canadienne.
- La substitution des signaux (63 %), plutôt que l’imposition de frais supplémentaires pour les stations américaines, est privilégiée comme moyen de protéger les droits de diffusion.
Services en ligne
- En ce qui concerne les services en ligne comme Netflix, la majorité des participants étaient de l’avis de John (61 %), à savoir que les services en ligne ne devraient pas être tenus de contribuer aux émissions canadiennes.
- Ceux qui, comme Jenny, jugeaient que les services en ligne s’en tirent à bon compte sont, pour la plupart (84 %), prêts à payer 0,50 $ par mois pour obtenir plus de contenu canadien.
- Une mince majorité de participants (57 %) ne croient pas que les services en ligne devraient être obligés d’offrir le sous-titrage et de se conformer aux normes en matière de programmation.
- Trente-six pour cent (36 %) des participants consentiraient à payer 5 $ par mois pour regarder la télévision en continu sans que cette consommation de données soit déduite de leur limite d’utilisation.
Abonnement au service de base
Q. Avec qui êtes-vous d’accord et pourquoi?
- Doreen, Jeannine et Sierra - parce que faire en sorte que le service de base comprenne un petit nombre de chaînes qui offre un service à des auditoires mal desservis et sous-représentés est un bon moyen de s’assurer que le système de télévision a quelque chose à offrir à chaque Canadien.
- Phan - parce que le service de base serait exactement ce qu’il doit être : un service de base, qui devrait être offert au plus bas prix possible de sorte que les personnes à faible revenu et à revenu fixe puissent s’abonner.
Doreen, Jeannine et Sierra | Phan | |
---|---|---|
Avec qui êtes-vous d’accord et pourquoi? | 38 % | 62 % |
Dans une proportion de près de 2 pour 1 (62 %), les Canadiens privilégient le point de vue de Phan, c-à-d. un service de base qui est offert au plus bas prix possible.
- Les personnes issues d’un ménage dont le revenu est inférieur à 40 000 $ sont les plus susceptibles de privilégier le point de vue de Phan (69 %).
- Les jeunes Canadiens sont les moins susceptibles d’aimer le point de vue de Phan (57 %) et les personnes d’un certain âge (de 45 à 54 ans) les plus susceptibles de l’aimer (67 %).
- Les Canadiens de l’Atlantique risquent plus de préconiser le point de vue de Phan (71 %); ceux de la ColombieBritannique, le moins (57 %).
- Les téléspectateurs anglophones (62 %) risquent autant que les téléspectateurs francophones (62 %) de choisir Phan.
Nouvelles locales
Q. À l’heure actuelle, le CRTC exige des stations de télévision locales qu’elles assurent une couverture des nouvelles locales. Certains affirment qu’il s’agit d’une exigence vieillie et désuète?
Andrew et Mary : Tous deux ont des semaines de travail normales, avec quelques heures supplémentaires et déplacements. Après le souper, ils syntonisent souvent le journal télévisé local. Ils apprécient tous deux le compte rendu des évènements de la journée présenté dans le cadre du journal télévisé local, les reportages occasionnels sur les scènes locales des arts et de la culture, ainsi que les sports et la météo. Cela fait partie de la routine et constitue pour eux la meilleure façon d’obtenir une perspective des évènements de la journée.
Matthew : en plus d’être inscrit comme étudiant à temps plein, Matthew travaille à temps partiel comme serveur. Contrairement à ses parents, Matthew s’intéresse davantage aux actualités et aux informations globales. Il est toujours en mouvement et trouve qu’il obtient un contenu et des nouvelles plus personnalisés, plus approfondis et plus à jour à l’aide de son téléphone intelligent plutôt qu’à la télévision. De plus, il n’arrive pas à comprendre pourquoi ses parents, qui sont constamment en ligne, ne veulent pas faire la même chose.
- Andrew et Mary apprécient beaucoup les bulletins de nouvelles locales. Cela fait partie de la routine quotidienne; pour eux, il s’agit de la meilleure façon d’avoir un aperçu des actualités de la journée.
- Matthew est étudiant, il travaille à temps partiel et s’intéresse aux actualités et aux informations internationales; son téléphone intelligent lui permet d’accéder à du contenu personnalisé, approfondi et à jour.
Andrew et Mary | Matthew | |
---|---|---|
Certains affirment qu’il s’agit d’une exigence vieillie et désuète? | 71 % | 29 % |
Plus de 7 participants sur 10 affirment, comme Andrew et Mary, que les nouvelles locales font partie des moments de la journée qu’ils apprécient.
- Les ménages à revenu élevé sont moins susceptibles d’apprécier les nouvelle locales (65 %).
- L’effet est marquant par groupe d’âges (prochaine diapo). Alors que les 18 à 34 ans sont divisés sur la valeur des nouvelles locales, les Canadiens plus âgés les apprécient dans une proportion écrasante.
- Les gens des Prairies (82 %) et du Canada Atlantique (79 %) risquent plus de pencher pour Andrew et Mary.
Nouvelles locales selon l’âge
Q. À l’heure actuelle, le CRTC exige des stations de télévision locales qu’elles assurent une couverture des nouvelles locales. Certains affirment qu’il s’agit d’une exigence vieillie et désuète. Avec qui êtes-vous le plus d’accord?
Andrew et Mary : Tous deux ont des semaines de travail normales, avec quelques heures supplémentaires et déplacements. Après le souper, ils syntonisent souvent le journal télévisé local. Ils apprécient tous deux le compte rendu des évènements de la journée présenté dans le cadre du journal télévisé local, les reportages occasionnels sur les scènes locales des arts et de la culture, ainsi que les sports et la météo. Cela fait partie de la routine et constitue pour eux la meilleure façon d’obtenir une perspective des évènements de la journée.
Matthew : en plus d’être inscrit comme étudiant à temps plein, Matthew travaille à temps partiel comme serveur. Contrairement à ses parents, Matthew s’intéresse davantage aux actualités et aux informations globales. Il est toujours en mouvement et trouve qu’il obtient un contenu et des nouvelles plus personnalisés, plus approfondis et plus à jour à l’aide de son téléphone intelligent plutôt qu’à la télévision. De plus, il n’arrive pas à comprendre pourquoi ses parents, qui sont constamment en ligne, ne veulent pas faire la même chose.
les 18 à 34 ans | les 35 à 44 ans | les 45 à 54 ans | les 55 à 64 ans | les 65 ans et plus | |
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Andrew et Mary : Ils aiment regarder le téléjournal local, cela fait partie de leur routine. | 54 % | 67 % | 73 % | 88 % | 81 % |
Matthew : Il s’intéresse à l’actualité et à l’information internationales; son téléphone intelligent lui permet d’accéder à du contenu et des nouvelles personnalisés, approfondis et à jour. | 46 % | 33 % | 27 % | 12 % | 19 % |
Options à la carte
Q. Compte tenu de leurs situations et de leurs points de vue ainsi que de vos propres habitudes d’écoute télévisuelles, laquelle de ces trois options choisiriez-vous, et pourquoi?
Options à la carte | Forfaits à la carte | Grands forfaits préassemblés | Autre | |
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Compte tenu de leurs situations et de leurs points de vue ainsi que de vos propres habitudes d’écoute télévisuelles, laquelle de ces trois options choisiriez-vous, et pourquoi? | 53 % | 33 % | 9 % | 6 % |
L’option privilégiée est la formule des options à la carte (53 %). Les grands forfaits préassemblés (9 %) sont les moins susceptibles de plaire.
- Les Canadiens à faible revenu (59 % de ceux qui gagnent moins de 40 000 $) préconisent un peu plus les forfaits à la carte.
- Les femmes (61 %) sont plus susceptibles de choisir un forfait à la carte. Les hommes risquent presque autant de choisir des options à la carte (42 %) qu’un forfait à la carte (44 %).
- Les gens de la C.B. sont les plus susceptibles de privilégier les options à la carte (44 %) et les moins susceptibles d’aimer les forfaits à la carte (46 %).
Programmation de sports
Q. Laquelle de ces opinions est la plus convaincante? (n’en choisissez qu’une)
- Celle d’Ethan, parce que les téléspectateurs qui ne peuvent pas payer davantage devraient pouvoir regarder la programmation sportive importante.
- Celle d’Eva, parce que les droits de diffusion des émissions sportives étant de plus en plus élevés, seuls ceux qui souhaitent regarder ces émissions devraient les payer.
Ethan | Eva | |
---|---|---|
Laquelle de ces opinions est la plus convaincante? | 45 % | 55 % |
Les Canadiens sont divisés sur la question de la programmation sportive, mais penchent pour l’avis d’Eva, qui soutient que ceux qui veulent regarder des émissions de sport devraient les payer (55 %).
Accès aux émissions américaines et internationales
Q. Voulez-vous un accès plus direct aux chaînes américaines?
Q. Voulez-vous un accès plus direct aux chaînes internationales (autres qu’américaines)?
chaînes américaines | chaînes internationales (autres qu’américaines) | |
---|---|---|
Oui, je veux un accès plus direct aux… | 61 % | 47 % |
Soixante et un pour cent (61 %) des Canadiens souhaitent avoir un accès plus direct aux chaînes américaines et près de la moitié (47 %) veulent un accès plus direct aux chaînes internationales.
- Ce désir d’avoir accès à plus de chaînes est plus présent chez les jeunes (parmi eux, 68 % veulent plus de chaînes américaines et 56 %, plus de chaînes internationales).
- Le revenu est légèrement lié au désir d’avoir plus de chaînes internationales.
- Les hommes risquent plus de vouloir un accès plus direct aux chaînes américaines (64 %) et aux chaînes internationales (56 %).
- Les personnes nées à l’étranger sont plus susceptibles de vouloir plus de chaînes internationales (68 %).
- Les résidents du Québec sont les moins susceptibles de vouloir un accès plus direct aux chaînes américaines (47 %), mais sont tout aussi susceptibles de vouloir un accès direct aux chaînes internationales.
- Les personnes qui regardent essentiellement la télévision en français sont également moins susceptibles de vouloir un accès plus direct aux chaînes américaines (40 %) et aux chaînes internationales (40 %).
Compromis pour l’accès aux chaînes américaines et internationales
Q. Voudriez-vous davantage de chaînes américaines et d’autres chaînes internationales si cela signifiait payer davantage?
Q. Voudriez-vous davantage de chaînes américaines et d’autres chaînes internationales même si cela signifiait que certaines émissions et chaînes canadiennes (et les emplois qui leur sont associés) pourraient ne plus être disponibles?
cela signifie payer davantage. | cela signifie que certaines émissions et chaînes canadiennes (et les emplois qui leur sont associés) pourraient ne plus être disponibles. | |
---|---|---|
Oui, je voudrais un accès plus direct même si… | 38 % | 31 % |
Moins de la moitié de ceux qui aimeraient avoir plus de chaînes américaines ou internationales, ou les deux, accepteraient de payer davantage (montant non précisé) pour les obtenir ou accepteraient de laisser aller les chaînes et les émissions canadiennes pour les obtenir.
- La volonté de payer est liée au revenu du ménage; les ménages à faible revenu risquent moins de vouloir payer.
- Fait intéressant, cet intérêt à l’égard d’un plus grand nombre de chaînes est également élevé chez les ménages à revenu élevé, et ce, même au prix d’une réduction du nombre d’émissions ou de chaînes canadiennes.
- Dans les deux cas, les hommes sont plus susceptibles de vouloir un plus grand accès direct que les femmes.
Forfait de chaînes internationales et canadiennes
Q. Si vous pouviez obtenir un accès direct aux chaînes internationales, mais uniquement dans le cadre d’un forfait comprenant certaines chaînes canadiennes, seriez-vous disposé à payer pour ce forfait?
Oui | Non | |
---|---|---|
55 % | 45 % |
À peine un peu plus de la moitié des Canadiens (55 %) aimeraient avoir un accès direct au x chaînes internationales, moyennant un prix, si elles étaient incluses dans un forfait comprenant certaines chaînes canadiennes.
- Les jeunes canadiens (62 % des moins de 30 ans) sont plus intéressés.
Substitution de signaux
Q. Laquelle de ces approches assurerait un meilleur équilibre entre la protection des droits de diffusion et l’offre d’un choix aux téléspectateurs?
Substitution de signaux | Embargos | Payer davantage pour les chaînes américaines | |
---|---|---|---|
Laquelle de ces approches assurerait un meilleur équilibre entre la protection des droits de diffusion et l’offre d’un choix aux téléspectateurs? | 63 % | 5 % | 32 % |
L’approche de substitution de signaux actuelle est privilégiée (63 %), mais un segment important (32 %) aimerait payer un supplément pour obtenir les chaînes américaines.
- Les ménages à faible revenu sont un peu plus susceptibles de privilégier l’approche de substitution de signaux (65 % de ceux dans la catégorie du revenu inférieur à 40 000 $).
- On observe des différences appréciables liées à l’âge. Les moins de 35 ans (59 %) et les 35 à 44 ans (53 %) risquent moins d’aimer la substitution de signaux que les personnes âgées (72 %).
Programmation en ligne
Q. Avec qui êtes-vous d’accord?
Jenny est une productrice indépendante qui croit que les services en ligne comme Netflix s’en tirent à bon compte en ne contribuant pas à la production d’émissions canadiennes : des emplois seraient créés et les histoires canadiennes doivent être racontées sur toutes les plateformes. De plus, ces services ne sont même pas tenus de fournir le sous‑titrage et de se conformer aux normes en matière de programmation.
John est un ingénieur et l’un des premiers utilisateurs des nouvelles technologies; il apprécie la quantité d’émissions qu’il peut regarder pour un prix très modeste et ne voudrait pas payer un sou de plus pour ce qu’il reçoit. Il ne croit pas que les services en ligne devraient être tenus de contribuer à la programmation canadienne si cela devait faire augmenter les prix pour le consommateur.
Jenny | John | |
---|---|---|
Avec qui êtes-vous d’accord? | 39 % | 61 % |
En ce qui concerne la programmation en ligne, les Canadiens ont été plus nombreux à adopter le point de vue de John (61 %), à savoir que les services en ligne ne devraient pas avoir à contribuer aux émissions canadiennes.
- L’âge et le revenu n’influent pas vraiment sur l’opinion des personnes pour cette question.
- Les résidents du Québec sont les plus susceptibles d’adopter le point de vue de Jenny (48 %), suivis de la C.-B. (43 %).
Consentement à payer 0,50 $ pour plus de contenu canadien
Q. Si vous êtes d’accord avec Jenny, seriez-vous disposé à payer 0,50 $ de plus par mois à un service en ligne pour pouvoir choisir plus d’émissions canadiennes?
Oui | Non | |
---|---|---|
84 % | 16 % |
Même si c’est la minorité qui a appuyé le point de vue de Jenny (38 %), ceux qui l’ont fait sont prêts à soutenir leur position par un engagement financier. Quatre-vingt-quatre pour cent (84 %) d’entre eux sont prêts à payer 0,50 $ de plus par mois pour pouvoir choisir plus d’émissions canadiennes.
Normes relatives aux services en ligne
Q. Les services en ligne doivent‑ils être tenus de fournir du sous‑titrage et de se conformer aux normes en matière de programmation?
Q. Dans l’affirmative, seriez-vous disposé à payer quelques sous de plus par mois afin que les services en ligne répondent à ces exigences?
Juste un peu plus de la moitié des Canadiens (57 %) croient que les services en ligne devraient offrir le sous-titrage et respecter les normes. Parmi eux, la majorité (59 %) accepteraient de payer les quelques sous par mois.
- Les Canadiens issus de ménages à revenu élevé sont beaucoup moins susceptibles (46 %) de penser que les services en ligne devraient être assujettis aux mêmes exigences.
- Les femmes sont plus susceptibles de vouloir le sous-titrage et les normes (62 %).
- Le plus fort appui aux normes provient du Québec (62 %), de l’Ontario (60 %) et du Manitoba/Saskatchewan (62 %). Les personnes qui regardent la télévision en français (68 %) penchent aussi un peu plus pour les normes.
Oui | Non | |
---|---|---|
57 % | 43 % |
Oui | Non | |
---|---|---|
59 % | 41 % |
Payer pour de la diffusion en continu illimité
Q. Si l’accès en continu au contenu de diffusion de services en ligne respectant les exigences précitées n’avait pas d’incidence sur votre limite d’utilisation de données sur Internet, seriez-vous prêt à payer un petit montant fixe de 5 $ par mois pour compenser l’augmentation des coûts d’utilisation?
Oui | Non | |
---|---|---|
Prêt à payer les frais de 5 $ pour la diffusion en continu? | 36 % | 64 % |
À peine un peu plus d’un répondant sur trois (36 %) accepterait de payer 5 $ par mois pour que le contenu en continu qu’il reçoit des services en ligne ne touche pas à leur limite d’utilisation de données Internet.
- Les ménages à revenu élevé risquent un peu plus d’y consentir (37 % de ceux ayant un revenu supérieur à 100 000 $), mais même dans ce groupe, ce point de vue reçoit peu d’appui.
- Les jeunes canadiens sont plus chauds à cette idée que les plus âgés. Chez les moins de 35 ans, 41 % des personnes paieraient les frais de 5 $.
- Les Albertains (27 %) sont les moins susceptibles de vouloir payer et les Ontariens (40 %), les plus susceptibles d’y consentir.
Profil sans pondération
Principales caractéristiques démographiques (%)
Au total, 1 252 personnes ont répondu au cahier des choix. Les résultats ont été pondérés en fonction des données de Statistiques Canada pour l’âge, le sexe et la région afin de corriger la tendance qui veut que certains groupes sont plus susceptibles de compléter le processus que d’autres.
Les chiffres présentés ici ne sont pas pondérés. Ils traduisent la proportion réelle des groupes de l’échantillon, avant pondération.
Atlantique | Québec | Ontario | Man./ Sask. | Alberta | C.-B. | Territoires | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Provinces | 5 % | 14 % | 38 % | 5 % | 14 % | 24 % | 0 % |
Homme | Femme | |
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Sexe | 50 % | 50 % |
Enfants de moins de 11 ans | Personne née à l’étranger | |
---|---|---|
Divers | 13 % | 16 % |
Anglais | Français | Autre | |
---|---|---|---|
Première langue | 83 % | 10 % | 7 % |
de 18 à 24 | de 25 à 34 | de 35 à 44 | de 45 à 54 | de 55 à 64 | 65 et plus | |
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Âge | 2 % | 10 % | 13 % | 22 % | 29 % | 24 % |
Moins de 40 000 $ | de 40 000 $ à 69 999 $ | de 70 000 $ à 99 999 $ | 100 000 $ ou plus | |
---|---|---|---|---|
Revenu du ménage | 32 % | 27 % | 18 % | 23 % |
- Date de modification :